Dans un geste digne des personnages qu’il admirait,
Dominique Venner a mis fin à ses jours le 21 mai 2013 dans un lieu hautement
symbolique.
Un geste qui l’honore car il est resté fidèle à lui même, à ses idéaux, à son éthique, jusqu’au bout.
Un geste d’une parfaite logique interne, presque prévisible même.
Un geste à contre courant du relativisme ambiant, un geste pur, tranchant, définitif.
Un geste ultime qui restera, tel l’acte d’un Mishima, « une tâche indélébile » (pour reprendre le mot d’Alain Leroy dans le roman Le Feu follet de Pierre Drieu La Rochelle).
Un geste qui l’honore car il est resté fidèle à lui même, à ses idéaux, à son éthique, jusqu’au bout.
Un geste d’une parfaite logique interne, presque prévisible même.
Un geste à contre courant du relativisme ambiant, un geste pur, tranchant, définitif.
Un geste ultime qui restera, tel l’acte d’un Mishima, « une tâche indélébile » (pour reprendre le mot d’Alain Leroy dans le roman Le Feu follet de Pierre Drieu La Rochelle).
Honneur à lui !
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