Eric Denecé nous a quitté.
Son départ brutal a été un choc et nous en sommes profondément affecté.
J’ai eu l’honneur de connaître Eric il y a 25 ans de cela, alors qu’il éditait chez L’Harmattan (1) la revue Renseignements & Opérations spéciales. Il m’avait demandé de collaborer avec lui en ce début des années 2000, ce que j’ai fait sans hésiter.
Lors de nos premières rencontres à Paris, nous avions appris à nous connaître. Le courant est passé très vite entre nous. Nous partagions les mêmes valeurs, les mêmes aspirations. Nous étions en confiance.
Lorsqu’il a créé un peu plus tard le Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) il m’avait demandé si je voulais faire partie de son équipe de recherche ; j’ai bien sûr accepté. Nous avons d’ailleurs travaillé ensemble sur quelques ouvrages collectifs (2).
Il y a deux semaines encore, nous échangions par téléphone au sujet d’un prochain ouvrage collectif sur l’histoire du renseignement auquel j’apportais ma contribution (3).
Eric allait bien, il ne m’avait fait part d’aucun souci ou d’inquiétude le concernant, ni d’une maladie qu’il aurait contracté. Ainsi suis-je d’autant plus atterré et choqué par sa disparition.
Eric Denecé était une personne juste et droite, soucieuse d’exactitude et de précision dans ses recherches comme dans ce qu’il publiait. Il était d’une humeur toujours égale et d’un naturel calme et posé. Il « en imposait » naturellement et cela contribuait entre autre à sa renommée, à son audience.
Nous perdons avec lui un homme droit et intègre, une personne défendant sincèrement les intérêts de la France (4).
C’était un bon ami, c’était un camarade.
Adieu Eric, à dieu…
Nous ne t’oublierons pas.
Notes :
1) notre éditeur commun ; il y avait d’ailleurs édité sa thèse de doctorat sur la Mer de Chine méridionale.
2) édités aux éditions Ellipses.
3) un livre à paraître en octobre et portant sur le renseignement durant les années 1950.
4) quand bien même cela lui attirait des inimitiés.
Son départ brutal a été un choc et nous en sommes profondément affecté.
J’ai eu l’honneur de connaître Eric il y a 25 ans de cela, alors qu’il éditait chez L’Harmattan (1) la revue Renseignements & Opérations spéciales. Il m’avait demandé de collaborer avec lui en ce début des années 2000, ce que j’ai fait sans hésiter.
Lors de nos premières rencontres à Paris, nous avions appris à nous connaître. Le courant est passé très vite entre nous. Nous partagions les mêmes valeurs, les mêmes aspirations. Nous étions en confiance.
Lorsqu’il a créé un peu plus tard le Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) il m’avait demandé si je voulais faire partie de son équipe de recherche ; j’ai bien sûr accepté. Nous avons d’ailleurs travaillé ensemble sur quelques ouvrages collectifs (2).
Il y a deux semaines encore, nous échangions par téléphone au sujet d’un prochain ouvrage collectif sur l’histoire du renseignement auquel j’apportais ma contribution (3).
Eric allait bien, il ne m’avait fait part d’aucun souci ou d’inquiétude le concernant, ni d’une maladie qu’il aurait contracté. Ainsi suis-je d’autant plus atterré et choqué par sa disparition.
Eric Denecé était une personne juste et droite, soucieuse d’exactitude et de précision dans ses recherches comme dans ce qu’il publiait. Il était d’une humeur toujours égale et d’un naturel calme et posé. Il « en imposait » naturellement et cela contribuait entre autre à sa renommée, à son audience.
Nous perdons avec lui un homme droit et intègre, une personne défendant sincèrement les intérêts de la France (4).
C’était un bon ami, c’était un camarade.
Adieu Eric, à dieu…
Nous ne t’oublierons pas.
Notes :
1) notre éditeur commun ; il y avait d’ailleurs édité sa thèse de doctorat sur la Mer de Chine méridionale.
2) édités aux éditions Ellipses.
3) un livre à paraître en octobre et portant sur le renseignement durant les années 1950.
4) quand bien même cela lui attirait des inimitiés.
Iconographie : https://lediplomate.media/
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